C'est une forme de clandestinité de la recherche génétique qui se passe du bien-pensant et du politiquement correct. Il y a six ans, je pensais que c'était la cosmétologie qui aurait été la première à faire la percée, genre inhiber la synthèse de mélanine pour MJ, ou faire des tatouages fluo pour briller en discothèque. Je me suis planté, le dopage arrive à la première place (publique au moins) du podium. Faut dire que quel que soit le domaine technique, on démarre toujours avec des connaissances limitées et on apprends de nos erreurs et de nos réussites. Je ne vois pas pourquoi ça devrait être différent pour le génie génétique. Au moins avec les athlètes on a des volontaires (au moins je l'espère, même si je doute qu'ils soient capables de donner leur consentement éclairé)
2 commentaires:
C'est une forme de clandestinité de la recherche génétique qui se passe du bien-pensant et du politiquement correct.
Il y a six ans, je pensais que c'était la cosmétologie qui aurait été la première à faire la percée, genre inhiber la synthèse de mélanine pour MJ, ou faire des tatouages fluo pour briller en discothèque. Je me suis planté, le dopage arrive à la première place (publique au moins) du podium.
Faut dire que quel que soit le domaine technique, on démarre toujours avec des connaissances limitées et on apprends de nos erreurs et de nos réussites. Je ne vois pas pourquoi ça devrait être différent pour le génie génétique. Au moins avec les athlètes on a des volontaires (au moins je l'espère, même si je doute qu'ils soient capables de donner leur consentement éclairé)
Mac je ne sais pas comment ça se passe chez toi, dont voici une source sur le consentement éclairé
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